Le centre ville était plein. Les boutiques de vêtements encore plus. C'est impressionnant comme les filles adorent faire du shopping, au grand dam de Kevin. En effet, lorsque sa soi-disant mère lui parla d'une soirée à laquelle sa famille était conviée, il n'aurait pas cru qu'on l'aurait traîné de force dans un magasin de pourris. Ses blousons et jeans craqués lui allaient très bien. Ça s'accordait avec son tempérament de cimetière. Il fumait entre les rayons avec l'impression de mourir à petit feu. Pourquoi aux réceptions, on ne pouvaient pas s'habiller comme d'hab ? Et pourquoi surtout il pouvait pas SÉCHER cette bordel de réception. La donner à un pote de sa classe, par exemple ? Un à qui ça profiterait vraiment. Lui, ce genre de truc le gonfle trop. Et le pire, c'était l'ambiance étouffante de ces magasins de luxe. Dès qu'on hausse la voix, on vous regarde comme un animal de zoo. Kevin grognait et aboyait donc à ses parents à qui mieux mieux

"Bordel, j'ai pas besoin de vos costumes ! Je dois reprendre mon entraînement de foot. Laissez-moi partir ! Quelqu'un va me filer un coup de main, oui ?"

Il savait que ca ne servait à rien, mais voir les têtes médusés des clients aux cerveaux mous le calmait un peu. Il le regardait comme un animal sauvage. Hors, qu'est l'être humain, sinon un animal. Et lui, Kevin, n'et pas n'importe quel animal: c'est un dragon ! Un coup de pied dans le genou de son père, et il échappe à la corvée du smoking. Une fois à la porte du magasin, le jeune homme reprends son souffle et s'allume une cigarette. C'est amusant : il adore fumer, "smoke" en anglais, mais déteste les smok-ings. Pourquoi il ne sort pas ? Parce qu'il n'a plus son blouson blanc. Sa mère a du le lui prendre pour le faire revenir. Le jeune homme grogne encore un moment, avant d'éteindre sa cigarette sur une des caisses avoisinantes et de repartir à l'intérieur, en apnée.

En partie, Melinda ne traîne génèralement que peu de temps dans le centre de la ville mais les boutiques l'interesse réellement, un peu comme chaque fille. Elle avait repèré un garçon assez turbulants avec ses parents, mais ne les regarda que de façon discrète. Elle aime observer les comportements de l'humain, ça lui permet de mieux appréander le milieu qui l'entoure. Elle le voyait, trainer des pieds, d'allées en allées.

" Leiko, mais pourquoi agit-il ainsi ? "

Leiko est une de ses amies, elle apparaît souvent à ses côtés, ensemble elles vont partout et se disent tout sur tout. Elles sont comme les doigts de la main.
Melinda regarda et observa minutieusement une vitrine, il y avait pleins de belles choses mais elle se retint d'entrer. Elle vit tout à coup le jeune garçon aller vers ses parents, qui se trouvaient à environ quatre mètres d'elle, et il leur dit :

" Bordel, j'ai pas besoin de vos costumes ! Je dois reprendre mon entraînement de foot. Laissez-moi partir ! Quelqu'un va me filer un coup de main, oui ?"

Elle n'en revenait pas, elle ne se doùtait même pas qu'un jeune oserait parler d'une telle façon à ses parents.Et puis le garçon ne s'en arrêta point à ça. Il donna un coup de pied à son père et s'en alla en courant...

" Mais c'est inadmissible ! Pourquoi le laissent-ils faire ?! Pourquoi ne lui courent-ils point après ?! Pourquoi a - t - il fait ça ?! "

Tant de " Pourquoi ?! " dans la tête de Melinda mais que peu de réponses. Elle n'aime pas voir une telle méchanceté de la part d'un être envers ses parents. Mais elle fut surprise de le voir s'enfiler une cigarette... Mais il revint de suite, après avoir fumé, chose qui l'étonne et qu'elle apprivoise grandement.

Le centre ville était bondé aujourd'hui. Mais cela ne l'arrêta pas. Ikuya avait besoin de tunes et quelque soit le temps qu'il patientait il voulait donné son CV et sa lettre de motivation. Il avait déjà postulé dans plusieurs endroits dont le fast-food et un magasin de vêtements pas chers. Mais le magasin où Ikuya se dirigeait maintenant était différent du premier. En effet, c'était un magasin pour les riches, les Bourges, ou pour être plus poli, un magasin chic. Nakamura avait du mal à supporter les gens riches car ils les trouvaient prétentieuses et imbu de leur personne. Pourtant, s'il obtenait ce poste, il serait bien mieux payer que dans les autres où il avait postulé. Mais, tout comme les gens qu'il servirait, il fera son "faux-cul" avec eux. Il était doué en séduction et plaire aux clients ne devait pas être plus compliqué que plaire aux filles!!!!
Au bout d'une demi-heure, une vendeuse s'intéressa enfin à lui alors que plusieurs personnes arriver après lui avait déjà été servi. C'est vrai qu'il paraissaient moins chic que les autres et donc moins intéressant. Il lui remis tout ce qu'il devait donner pour avoir une chance d'être pris et parti en espérant que le magasin allait l'appeler.
Quand il se dirigea vers la sorti, il remarqua une jolie fille avec une amie. Il passa devant elle mais elle ne semblait pas l'avoir remarqué. En effet, la blonde avait l'aire obnubiler et outré par le comportement d'un autre client. Nakamura regarda celui-ci plus précisément. Il était en train de crier sur un vendeur. Nakamura le reconnu. Ils étaient dans le même lycée. Il ne savait pas son nom mais l'avais souvent remarqué avec un ballon de foot ou se faire remarquer par son impolitesse. Mais pourquoi quelqu'un de Yaezakura High School se trouvait dans un magasin comme celui-ci? Était-il en train de passé un entretien? Non, il semblait être accompagné de personnes riches. C'est pendant que Ikuya se posait ces questions que son camarade donna un coup de pied à son accompagnateur (son père peut-être?!?) et s'enfuit du magasin en passa en courant devant Nakamura. Il avait l'habitude de voir se genre de chose car il vivait dans un quartier pauvre ou la violence faisait parti du quotidien. Avant qu'il eut le temps de sortir, le jeune homme revient dans le magasin. C'est à la porte qu'Ikuya décida de lui adresser la parole :

"Saleté de riche, n'est-ce pas?

En disant cela il prenait un risque mais tampi!!! S'il se mangeait un coup, c'est qu'il l'aurait bien chercher. Mais de ce qu'il connaissait de l'autre élève de son école, grâce aux rumeurs, c'est qu'il ne supportait pas non plus les petits Bourgeois! Il attendit donc sa réaction...

Alors qu'il voyait déjà,dans sa tête, sa mère faire les poches de son blouson, un garçon s'approche de Kevin. Si c'est pour lui faire des réflexions sur son style il recevra un coup de pied...disons capable de le rendre moins masculin. Mais le jeune home sauce sa sensibilité en maugréant :

"Saleté de riche, n'est-ce pas?"

Face à une personne le comprenant, Kevin se radoucit un peu. Ce qui signifie qu'il grogne comme un chien, de cracher sur la moquette luxueuse du magasin et de répondre avec une voix d'homme-bête :

"Tu l'as dit. pas un pour rattraper l'autre."

Kevin renifle bruyamment en regardant son interlocuteur. Vu ses habits, et surtout ses commentaires, ce n'est certainement pas un bourge. Il l'a déjà vu. Donc c'est à Yaezakura. Le jeune homme réfléchit un moment sur l'identité de ce garçon. Finalement, il reprends en le regardant de sa manière si sombre dans les yeux :

"C'est pas toi le mec de Yaez' qui a toujours des meufs aux talons ? Tu fous quoi ici ?"

Si, c'était lui il en était sûr. Mais Kev' ne pouvait décidément pas comprendre comment quelqu'un de normal, pouvait se retrouver dans cet enfer, même s'il voulait faire du shopping. Alors qu'il allait repartir à la recherche de son habit fétiche, il remarque cachée derrière des vestes en peaux de bestioles, deux filles qui le regardaient. Qu'est-ce qu'elles lui voulait ? En jurant, il pousse le garçon et vint voir les filles en aboyant :

"Quoi vous deux ? Vous voulez ma photo p'têt ? Et pour le concours des ninjas, faudra repasser !"

Pourquoi de ninjas ? Il n'en avait aucune idée. Sûrement a-t-il trop lu de manga. Enfin, ce n'est pas son souci. Ceux-ci sont dans l'ordre: Retrouver son blouson, discuter peut-être un peu avec l'élève de son établissement "de vrais personnes", faire dégager ces deux pimbêches, et se casser en vitesse. Ca n'allait pas être une mince affaire, mais faut se donner le moyens dans la vie.

'' Peut être que l'idée de devoir faire du shopping ne lui convient pas. "

Melinda prêtait grande attention aux paroles de son amie, en réfléchissant sur chaque mot. Leiko avait sûrement raison, et puis, ce n'est pas pour une telle raison qu'il faut agir ainsi.
Mais son amie la pris par la main et l'amena d'un peu plus près, montrant d'un geste courtois de sa main :

'' Kevin Someoka, du lycée voisin à Jinbou. Un pauvre garçon connu pour ne pas être très bavard avec les autres. Il fait du football d'après certaines informations. C'est tout ce que je sais sur lui.. ''

Apparemment, une attitude basique d'un élève de Yaezakura. C'est assez compréhensible de sa part, les quartiers habités par ces élèves sont remplis de personnes de ce genre. Melinda et Leiko n'oseaient pas trop s'en approcher, mais elle vit soudainement qu'un garçon, alla le voir et elles l'entendèrent parler :

"Saleté de riche, n'est-ce pas?"

Un soupir long et prononcé se fit entendre par nos deux amies. Certainement ennuyées de voir l'apparition d'un potentiel autre élève de l'école voisine. Tout à coup, l'on sentit Melinda de plus en plus méfiante... Peut-être avait-elle peur de ces élèves là, mais non, elle était juste sensible et savait très bien qu'un élève tel que ceux de Yaezakura pourrait choquer, voir même tromatiser l'esprit de notre blonde.
Mais apparemment, elles furent captées par l'attention de Kevin... Et il se dirigea vers elles :

"Quoi vous deux ? Vous voulez ma photo p'têt ? Et pour le concours des ninjas, faudra repasser !"

Lança Kevin avec un air méprisant. Sa façon de s'habiller était assez banal, jean, veste, hum... Certainement son habitude vestimentaire.
Au delà de ces paroles, Melinda, apeurée, lui répondit :

" Pourquoi nous parles-tu comme ça ?! Nous ne t'avons absolument rien fait... "

Le regard de Melinda fut d'un coup porté sur ce garçon, qui avait adressé la parole à Kevin et qui semblait le comprendre. Mais en quelques secondes, elle craque, part à l'opposé du magasin, près des chaussures, en pleurant à chaudes larmes. Elle pensa :

" Qu'ai-je fait pour qu'il m'agresse d'une telle façon ? Qu'ai-je fait ? Qu'ai-je dit de mal ? Qu'ai-je fait de travers ?? "

Elle continua de pleurer...

Ikuya fut content de ne pas se recevoir un coup de poing de la part de son collègue. Même si dans son quartier, il avait déjà dû se battre, ça ne fait jamais plaisir de se manger un coup. Et il vit que le jeune homme, tout comme lui n'aimait pas la présence des Bourges. Il le sut quand le jeune homme répondit :

"Tu l'as dit. Pas un pour rattraper l'autre."

Ikuya ne pu s'empêcher de lui sourire. Il éprouvait une certaine affection pour les gens qui ont le même antipathie que lui. Nakamura lui tandis la main pour voir si il allait la serré :

"Au faite, je m'appelle Nakamura, Ikuya NAKAMURA. On est dans le même lycée, je sais pas si tu le sais? Et toi c'est quoi ton nom?

Mais en même temps, le jeune homme avait remarqué que deux personnes le regardaient. Il se dirigea vers l'endroit où elles étaient et se mit à leur crier dessus. Et tout de suite, la jolie blonde lui répondit :

"Pourquoi nous parles-tu comme ça ?! Nous ne t'avons absolument rien fait... "

La jeune fille avait l'aire apeuré face à cette brutalité gratuite. Son regard se tourna vers Ikuya. Elle était décidément très jolie. Mais très vite, ces beaux yeux se remplir de larmes et elle détourna le regard puis s'enfuit au fond du magasin. Bien que Ikuya était d'accord avec le garçon de son lycée a propos des riches, et que ces jeunes filles n'auraient pas dû les espionner, il trouva que le garçon aux cheveux blanc avait exagéré. S'attaquer à de pauvres filles qui ne faisaient rien de méchant!!! Ikuya voulait le faire comprendre au garçon qui ne pouvait pas avoir un fond aussi méchant qu'il le fait croire. Il lui dit :

"Qu'est ce que tu fous dans ce magasins? T'es décider à t'en prendre à tout le monde ou t'as fini? C'est pas leurs fautes, à ces filles si t'es coincé ici! T'aurais pu leur faire comprendre plus gentiment que ce qu'elles faisaient ne te plaisait pas! Je sais à quel point les riches sont insupportables, mais quand même... Je vais voir si cette fille va bien, à la prochaine j'espère!"

Ikuya lui sourit et partie en direction du fond du magasin. Il aimait bien le tempérament de feu de l'autre jeune homme. Il était si imprévisible. Un truc de pauvre sans doute! Nakamura ne mis pas longtemps à trouver les deux jeunes filles. Et comme il l'avait deviné, la petite blonde était effondré. Elle pleurait dans un jolie mouchoir en tissu. Et l'autre essayait de la réconforter tout en lançant des regards assassins et réprobateur au garçon qu'il venait de quitter. Cette fille avait l'aire bien moins affectable et d'un caractère plus dure. Il s'approchât des deux filles, souri à la fille qui était occuper à dévisager son camarade (il voulait lui montrer qu'il ne voulait rien de mal) s'accroupit devant la fille en pleure.

"Salut toi! Tu sais, je pense que ça ne vaut pas la peine de pleurer pour une phrase dite brutalement. Il est un peu nerveux comme gars mais il doit être gentil quand on le connais. En plus, j'en suis sur que t'es bien plus belle avec un grand sourire sur tes jolies lèvres plutôt que des larmes plein les yeux"

Nakamura lui envoya un grand sourire en attendant de voir si elle allait sécher ces larmes...

Une fois que Kev a lâché ces mots, l'une des deux filles, une blondinette pourrie jusqu'à la moelle, blêmit pitoyablement :

"Pourquoi nous parles-tu comme ça ?! Nous ne t'avons absolument rien fait... "

Kevin aboyat de plus belle :

"Pac'que tu crois que j'vous ai pas entendu causer sur mon dos ? Les commentaires, on les dit en face !"

Finalement, la gamine s'en va en chialant. Son amie, qui semble moins pourrie, mais ce n'est qu'une impression, le regarde avec l'air de mépris que seul les riches peuvent avoir et lache :

'' Quel manque de tact. ''

Puis elle partit rejoindre son amie. Kevin grogna derrière elle et cracha sur le tapis. Peut-être que l'autre gars avait compris. Iku quelque chose son nom. Mais l'ado ne se faisait pas d'illusions. En effet, l'autre s'approcha et lui tint un discours comme quoi il restait là juste pour gueuler, qu'il fallait être plus gentil avec ces nanas qui avaient rien fait... des bétises quoi. Finalement, il conclut :

"Je vais voir si cette fille va bien, à la prochaine j'espère!"

Alors qu'il s'en allait, Kevin lui hurla de loin:

"Tu te goures si u crois que j'vais t'écouter. Les riches nous traitent comme des chiens, à nous de renvoyer la balle !"

Plusieurs personnes le regardait comme un lion de zoo dans une cage. Kevin grogna et renversa un présentoir d'un coup de pied avant de repartir à la recherche de son bien. De loin, il entendit Iku parler gentiment de lui. Il s'approcha et vit qu'il réconfortait la richarde avec son amie. Il était bien ce qu'on croyait : un dragueur de première. Kevin se posa à côté et les écouta un moment. Avant de s'approcher et de cracher à nouveau :

"T'es vraiment pourrie, et ta copine aussi. Tu rêves pour que j'dise un truc genre "scuse moi"... Et puis toi le dragueur, tu te mets les mains dans les yeux si tu penses que je suis un gars cool. En plus PERSONNE me connais. Enfin, l'autre richarde, celle qui chouine pas: OUAIS je joue au foot et OUAIS je supporte pas les richards pourris qui me regarde en chien de faïence. J'suis un prolo et tu sais quoi, j'en suis fier."

Le jeune homme était un peu essoufflé. Non seulement il n'avait jamais autant parlé, mais en plus il venait de mentir. Il n'était pas pauvre, il était même très riche. En levant la tête, il vit sa mère qui cherchait un pantalon noir. Et en effet, elle tenait du bout de ses doigts gantés, son blouson. Il s'approcha d'elle comme un train et repris d'un geste sec son blouson qu'il remit sur son dos. Faute de pouvoir fumer, il pris un chewing-gum et revint vers les petit groupe en faisant une grosse bulle.

'' Allez, sèche tes larmes, ce n'est rien. Il va surement s'excuser d'une minute à l'autre. ''

Dit Leiko à Melinda qui versait de chaudes larmes.
Mais Melinda ne pu pas se retenir de pleurer, face à une telle méchanceté gratuite, cela lui était impossible. Mais un plutôt beau garçon s'approcha et dit :

"Salut toi! Tu sais, je pense que ça ne vaut pas la peine de pleurer pour une phrase dite brutalement. Il est un peu nerveux comme gars mais il doit être gentil quand on le connais. En plus, j'en suis sur que t'es bien plus belle avec un grand sourire sur tes jolies lèvres plutôt que des larmes plein les yeux"

Là Melinda rougit...Face à un garçon aussi beau, aucune fille ne peut s'empêcher de rougir, c'était donc très compréhensible de la part de notre blonde. Elle se retourna vers Leiko en chuchotant, toute rouge :

" Leiko, qu'est ce qu'il est mignon !! Observe comment je vais lui répondre "

Et là, elle sècha ses larmes, se dit dans sa tête " tu peux le faire ! " et se lança :

" Tu sais, t'es super mignon ! En plus, tu es si attentionné ! Le type parfait quoi ! Dis moi, tu serai pas en train de nous draguer ? "

Impréssionnée d'elle même, elle vit tout à coup le jeune crégnos s'approcher en lui aboyant dessus comme quoi il ne voulait pas s'excuser mais, au lieu de pleurer encore, elle reprit confiance en elle et lui reclaqua :

" Mais tu sais quoi ?! Va te faire voir ! Nous on te regarde mais t'es pas mieux ! Tu sais, y'a pas à taper ses parents pour avoir un air cool, tu sais pas que le respect ça existe ? Ah mais oui c'est vrai, tu n'as jamais ouvert un dictionnaire de ta vie ! Mais tu te crois où ?! A la Jungle?! Et bah non, ici t'es chez les bourges alors assume mon vieux ! "

Leiko vit sa copine retrouver son attitude d'avant, celle qui, comme Leiko le dit si bien, qui ne manque pas de tact, et elle en est fier, chacunes se protègent mutuellement, comme toutes amies d'ailleurs !

" Leiko, dis-moi, tu trouves que j'y suis allée un peu fort ? Moi personellement, je trouve qu'il a mérité que ce qu'il ne mérité, t'es pas d'accord ? "

Et les discussions de " chichis " reprirent de pire en pire